mercredi 11 novembre 2009

La peur n’est pas éducative

Chacun a sa façon dans l'éducation de ses enfants mais certaines règles générales sont obligatoires à la bonne éducation:
= Il faut respecter le chemin de l'autonomie de son enfant, en imposant notre éducation il ne faut pas perdre de vue que l’on éduque son enfant pour lui et non pour soi, pour l’aider à devenir autonome à partir d'un certain âge. Tout l’enjeu est d’aider son enfant à trouver son chemin et à suivre la voix dont il est fait et non le charger pour réaliser un rêvé parental enfouis.
=Il faut lui donner l'amour : un enfant a besoin d'être rassuré encouragé et de se sentir aimé pour ce qu’il est, avec ses qualités et ses défauts.
= Il faut le protéger : Un enfant a besoin de se sentir protégé et entouré par ses parents. Il est essentiel qu’il sache qu’il peut compter sur eux dans n’importe quelles circonstances et qu’il trouvera toujours chaleur et réconfort.
= Il faut une constance et une régularité éducative: il n’est pas bon de permettre un jour ce que l’on interdira le lendemain.
= Il faut imposer une certaine autorité qui a un rôle fondamentale pour protéger l’enfant dans sa sécurité, sa santé et sa moralité. L’enfant a besoin d’être guidé avant de se repérer seul dans le monde. Si l’on dit oui à tout, l’enfant s’angoisse, se sent perdu et devient un tyran pour trouver désespérément des limites.

Pour conclure :
+ Il est essentiel de donner à ses enfants les repères de base de la vie en société : respect de soi et d’autrui la politesse et l’interdit de la violence.
+ Il est inutile de dire non ou d’édicter des règles si vous n’avez pas l’intime conviction que l’interdit ou la règle est justifié. L’enfant le sentira et n’obéira pas. Le mieux est toujours d’expliquer à l’enfant le pourquoi d’une limite, d’un “non” parce qu’un enfant éduqué est un enfant qui a compris le pourquoi de choses qu’on lui impose.
+ La sévérité excessive n’apporte rien de bon. La peur n’est pas éducative car elle n’apporte pas le respect ni le bonheur.

lundi 9 novembre 2009

Coucher ou dormir

«Coucher avec une femme et dormir avec elle, voilà deux passions non seulement différentes mais presque contradictoires. L'amour ne se manifeste pas par le désir de faire l'amour (ce désir s'applique à un nombre incalculable de femmes) mais par le désir du sommeil partagé (ce désir-là ne concerne qu'une seule femme).» Petit extrait de «L'insoutenable légèreté de l'être» -Milan Kundera.
Coucher, c’est faire l'amour, avoir une relation sexuelle, avoir une relation qui implique le sexe -au sens physique. Théoriquement on peut faire l'amour sans amour!!!
Dormir, c'est avoir un sommeil partagé, c'est partager l'abandon du sommeil avec l'autre, c’est aussi s'abandonner avec l'autre.
A t on plus le besoin de coucher ou dormir avec quelqu'un avec qui on a des sentiments et de grandes affinités?
Le fait de coucher pour ne pas dire baiser disons l'assouvissement physique comblera t il le besoin de dormir?
Peut on dormir avec une amie sans coucher?
Est ce qu'on est plus proche de l'être avec qui on veut dormir ou coucher?

Pourquoi " sans chercher à comprendre" ?

Depuis toujours je me suis débrouillé seul avec une certaine autonomie. Comme si me sentir libre était un réflexe d'apprentissage de survie. Avec le temps je suis parvenu à un état de sérénité face à mon milieu que je n'aurais pas pensé pouvoir atteindre.

Sociable sympathique mais méfiant j'avais installé un certain équilibre que je me vois garder face aux autres. Mes relations en dehors de celle que je porte pour ma petite famille sont simplifiées, amitié superficielle, de bon moment de rencontre de discussion ou de rencontre sportive.

Je ne suis pas du genre à faire des raisonnement ni des calculs je prends les choses telles qu'elles sont en me laissant parfois emporter par les vagues qui jusqu'à maintenant m'ont bien ramenés au bon port.

Mais quelle relation avec le blog ? Un petit événement en rapport avec une nouvelle une amitié, je ne sais pas si le terme amitié est bien le mot ou c'est une relation particulière avec des sentiments plus fort que celle d'une simple amitié, beaucoup d'affinité, une confiance totale et une complicité. Je deviens attacher à cette amitié au bonheur et malheur de cette personne malgré qu'on s'est jamais vu mais voila que je me laisse planer dans cette relation sans chercher à comprendre ni à se compliquer la vie.

Amitié particulière ? Amitié virtuelle? Amitié imaginaire? Amour lointain déjà vécu dans l'au-delà? Mais pourquoi chercher à comprendre je laisse le temps faire....A suivre